Sherwood V : A l'école des troubadours et troubairitz

Après que les ainé.e.s aient interprété.e.s les célèbres chansons "J'ai encore perdu ma popotte" et "Le cris du chat"... ... les désormais troubadours et troubairitz aguerri.e.s se sont réunis tous et toutes ensembles pour le mot de la fin... ... recevoir le badge de Sherwood V... ... chanter une dernière chanson tous ensembles... ... avant de franchir à nouveau les couloirs du temps pour retourner vers le futur !

Les ainé.e.s, quant à eux, se sont animé tou.te.s seul.le.s comme des grand.e.s, lors d'une partie de loups garous. J'ai perdu, trahi par mes plus proches...

Ce soir, frère Tuck et Hugh, armés de leurs crin-crin respectifs, sont venus chanté une fois de plus autour du feu avec les éclé.e.s

Ce soir, Morgane est venue lire des contes autour du feu pour les lutin.e.s et les louveteaux.ettes, une veillée finalement peut être aussi traditionnelle à Sherwood que le banquet

Le festival : Libère tes... Entièrement organisé par les jeunes troubadours et troubairitz, dans les contrées de Sherwood, fait d'expositions, de spectacles et de chansons. Représentation théatrale des lutins Eclée et louveteau admirant l'exposition des oeuvres graphiques. Iterlude chanté avec Mou-mou la reine des mouettes qui s'en va du port de Sète (et non de Brest) Les louveteaux.ettes jouent la pièce de théâtre préparée durant Sherwood Les lutin.e.s présentent leurs oeuvres en argile Second interlude musical, avec la Chanson de Sherwood (et ses paroles en étendard) Match d'impro des éclé.e.s Exposition land art, sons et lumières Hugh et frère Tuck cloturent l'après-midi, et ainsi se termine le festival : Libère tes... (un hommage à William Wallace peut être ?) NINJA !

Les gardes du Prince Jean sortent de la forêt, pensant tendre une embuscade aux louveteaux.ettes, mais les ainé.e.s avaient été prévenu.e.s... Les ainé.e.s aident les louveteaux.ettes à cacher les costumes pour le festival de cet après-midi, . Les louveteaux.ettes s'élancent, en espérant que les costumes arrivent de l'autre côté de l'embuscade maladrotie des gardes. Ce louveteau paviendra il à passer ? Celle-ci n'ira pas plus loin, malheureusement.

L'activité de ce matin chez les éclé.e.s est centrée sur l'argumentation. Le premier jeux de cette activitée constite en un loup garou des plus standards, jeu à rôles cachés, auquel a été ajouté par joueur.euse.s une deuxième carte, visible celle-ci, avec le nom d'une personnalité de Sherwood. La plupart de ces personnalités sont sans conséquences, sauf deux, Robin, déchu et pourchassé, a le droit de participer aux délibérations mais pas au vote du village. Le second, son Altesse le Prince Jean, a pour sa part un vote compte double. Est-ce que les éclé.e.s tomberont dans le piège d'écouter Robin et de comdanner le Prince Jean simplement par principe ? Le deuxième jeu était un entrainement à faire passer des vessies pour des lanternes : A tour de rôle, certain.e.s jouaient les gardes du Prince Jean, pendant que d'autres devaient leur expliquer en quoi les images qu'ils et elles transportaient n'étaient pas, bien évidemment, des moqueri

Atelier sculpture dans l'argile pour les lutin.e.s en compagnie de frère Tuck

Comme à chaque fois que l'on se rend dans les contrées de Sherwood, Robin et ses compagnons nous ont organisé un banquet dans le chateau de Marianne. Les jeunes troubadours et troubairitz ont assuré le spectacle pendant le banquet, notamment avec une danse par les louveteaux.ettes... ...suivi par deux tours de magie par 3 éclées... ...une pièce de théâtre des éclé.e.s... ...puis une chanson des ainé.e.s pour terminer. Le banquet à aussi été l'occasion de fêter les anniversaires de 3 jeunes qui ont eu lieu cette semaine. Ce qui implique que Morgane les a transportés à travers les années, mais sans changer ni de mois ni même de jour. Et ne me demandez pas quel âge ils ont du coup. Aux alentours de -815 ans, à priori. Enfin, Robin et ses compagnons sont venu remercier tout le monde pour leurs actions.

Frère Tuck, jouant du de la mandoline du oud, est venu faire chanter les lutin.e.s. Une fois qu'il eu posé son crin-crin, il a animé un atelier d'écriture et d'illustration de paroles de chanson à la risée du Prince Jean,

Morgane ayant pris le temps de ramener le local technique à Sherwood, les ainé.e.s, armé.e.s de feutres, d'une scie sauteuse et d'une ponceuse, ont pu se fabriquer des épées en bois, taillées dans des croûtes.